Biglia : "Les supporters et moi, c’est unique"

Je suis content que ma famille en Argentine ait pu voir le match face au Zenit à la télévision. Ils ne captent que les matches de Ligue des Champions. Mais vous me connaissez: c’est le résultat de l’équipe qui m’intéresse.


J’attends le prochain mercato. Si quelque chose se présente, je suis prêt à partir.” 8 millions c’est beaucoup pour moi, mais c’est une clause que j’ai acceptée quand j’ai signé; je dois donc la respecter. Le dernier jour du mercato d’été, un club anglais a fait une offre correcte mais inférieure à ces 8 millions. Anderlecht a refusé.”
“L’Espagne, l’Angleterre, l’Italie... Et, qui sait ?, la Russie. Je ne dis pas non. On ne sait jamais, s’il y a une bonne offre.”
“J’ai l’ambition de progresser. Je veux retrouver ma place en équipe nationale. Mais ce serait un rêve de revenir à Anderlecht par la suite, pour terminer ma carrière ici. Voilà sept ans que je suis en Belgique. Ma fille va à l’école en français; la Belgique est devenue notre deuxième pays. Je ne dis pas que je vais pleurer si je pars mais je serai ému. Les supporters et moi, c’est unique. Chaque fois qu’ils chantent ma chanson, j’ai la chair de poule. Ils m’ont donné un drapeau avec le texte de cette chanson: il est dans ma maison en Argentine.”
“Je suis fier d'être capitaine. Je remercie les coaches qui m’ont donné ce brassard. Je fais ce que je peux pour l’équipe. Toutefois, j’ai commis une erreur en tant que capitaine, cette saison. À Sclessin, j’aurais dû quitter le terrain après le jet de fumigènes. Je m’en veux. J’aurais dû emmener tout le monde aux vestiaires. Cet incident a fait basculer le match.”

(source Dhnet)