Avec un excellent Guillaume Gillet, le Sporting Bastia a croqué le PSG (4-2) au terme d’une remontée fantastique. Le médian belge savoure, et tient sa revanche par rapport au 0-5 au Parc Astrid avec un Ibrahimovic des grands soirs
"C’est magnifique ! ", lançait Guillaume Gillet, tout sourire au moment de quitter Furiani et son ambiance surchauffée.
"Se retrouver avec deux buts de retard, face au Paris Saint-Germain, et parvenir à décrocher les trois points, c’est inespéré. C’est le genre de situation impossible à renverser et, pourtant, nous y sommes parvenus. À 2-2, je sentais que ça allait tourner en notre faveur. Sans faire le malin, j’étais quasiment sûr, à ce moment-là, qu’on allait gagner. Nous avons trouvé les ressources nécessaires"
A Furiani, "Ibra" a été invisible, en partie grâce à un Gillet inspiré et motivé comme jamais, à l’image du nombre incalculable de ballons récupérés au cours des nonante minutes.
«Pour moi, c’est une très belle revanche par rapport à cette défaite au Parc Astrid », avoue-t-il.
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