Les confidences de Walter Baseggio

A la veille du match Bosnie-Belgique, la DH est allé à la rencontre de Walter Baseggio, lui qui n’a jamais eu la possibilité de participer à une phase finale avec les Diables Rouges.


L'ancien médian anderlechtois a notamment livré ses impressions sur le carton face à Andorre, le mondial brésilien, son aventure dans le calcio et son combat contre le cancer.

La longue interview est disponible sur le site Dhnet, nous n'en reprenons qu'un court extrait.

Walter est revenu également sur les entraîneurs qui jalonnèrent sa carrière.

"Prépondérants dans ma progression, Johan Boskamp et Jean Dockx m’ont appris énormément. Personne ne se plaignait à l’entraînement et nous étions heureux de travailler" , se remémore-t-il.

Avant eux, René Vandereycken avait été son premier mentor au Parc Astrid. C’était en 1997, l’année du retour au bercail d’Enzo Scifo.

"Enzo arrivait en droite ligne de Monaco au moment où je démarrais en première au Sporting. Son humilité m’avait tout de suite impressionné, autant que son talent fou. De coéquipier, Enzo est devenu bien après mon coach à Mouscron. »

Comme consultant , Walter Baseggio évoque le Sporting de son coeur :

"OK, le Sporting a la mainmise sur le championnat mais il ne le survole pas. Ses lacunes apparaissent au grand jour et se révèlent plus préjudiciables en Ligue des Champions car les oppositions ne sont pas nées de la dernière pluie. Dortmund, par exemple, n’a pas mis longtemps avant d’exploiter les grands espaces laissés libres entre la défense des Mauves et les médians »