Les humeurs du Bomber. Je suis toujours vivant !

OPINIONS

Je rassure tous les amis et connaissances qui s'inquiètent de mon absence de publication prolongée.

Cette « disparition » des écrans est tout simplement due à une impossibilité physique et matérielle de pouvoir réagir dans un délais raisonnable à l'actualité de notre club de cœur.

Les obligations professionnelles et familiales couplées à un ralentissement d'activité de mes neurones (je mets concrètement trois fois plus de temps qu'auparavant pour rédiger) m'obligent bien malgré moi à rester sur la touche.
En somme, je suis un peu devenu le Trebel des commentaires !

Vous voulez un exemple récent et concret ?
Vendredi, j'avais exploité mon temps de table pour entamer ma première « humeur » depuis belle lurette. A dire vrai, j'étais assez satisfait du résultat. J'abordais la plantureuse victoire face à Malines, celle plus réaliste à Sclessin et le nul contre Gand avec quelques bons mots et j'évoquais la bombe lancée par les médias à propos de l'ancienne direction qui ressemble davantage à une bombe de carnaval qu'à un scoop sensationnel.
Seulement voilà, il me fut impossible de conclure cette humeur et lorsque j'ai éteint mon PC après une journée et une semaine particulièrement éprouvantes nerveusement et physiquement, j'ai oublié de sauvegarder mon chef d'œuvre et j'ai donc perdu un texte qui aurait pu me propulser au Panthéon des maîtres de la littérature.
Je ne vous préciserai pas l'état dans lequel j'étais en prenant conscience de cette bévue.

Je m'étais donc résolu à demeurer dans mon mutisme jusqu'à ce matin où je me suis dit que j'allais quand même me rappeler au bond souvenir de chacun.
L'objet de cette chronique ne consistant à disserter sur le Covid, le climat, l'Afghanistan, les tensions entre la France et les Etats-Unis, le procès de terroristes ou la montée des extrémismes en Flandre et en Wallonie ni à vous servir du réchauffé par rapport à la vie du RSCA, je me borne donc à vous souhaiter un excellent dimanche qui devrait passer pour chacun de nous par une victoire sur la plage d'Ostende ou presque puisque le stade local est situé pratiquement en bordure de mer.

Une dernière précision pour ceux qui ne me connaissent pas ou alors très mal, ne prenez pas tous mes propos au premier degré.
Tant que je suis encore capable d'humour et d'autodérision, c'est que je ne suis pas encore enterré !