Les humeurs du Bomber. Le temps d'un septennat!

OPINIONS

Eh oui, 7 années ont passé depuis ma première humeur publiée le 12mai 2014 (https://anderlecht-online.be/fr/article/23761)!

Des joies, des déceptions, des colères, des enthousiasmes, des râleries, des coups de gueules ont parsemé cette période.
je ne vous ferai pas le coup d'un best of, ce serait bien trop présomptueux, mais je profite de l'occasion pour vous annoncer une nouvelle rubrique « Flash du Bomber » qui me permettra de partager avec vous, en quelques mots, mes impressions relatives à l'histoire et à l'actualité du RSCA.

J'ai toujours apprécié la liberté qui m'était offerte pour mes « humeurs ».
Pas la moindre censure ni d'obligation de publier suivant une fréquence déterminée, ce qui me permettait de vous livrer quatre humeurs en une semaine si l'inspiration était présente ou de demeurer muet durant un mois si je n'éprouvais pas le besoin de vous faire part de mes états d'âme.

Les plus perspicaces auront relevé l'usage de l'imparfait dans la conjugaison du verbe « permettre ». Eh oui, depuis quelques mois, ce n'est plus toujours mon absence d'« humeur » qui m'empêche d'écrire, mais plus précisément une extrême fatigue inextinguible consécutive aux effets conjugués de ce que l'on appelle désormais un Covid long (et non un coït long comme l'avait compris malencontreusement un de mes amis lors d'un appel téléphonique) et une pression professionnelle qui a dépassé les limites du supportable.
Le plus fidèles d'entre vous savent que les petites heures de la nuit constituaient les moments de prédilection à mes publications, mais l'inspiration n'est désormais plus au rendez-vous en ces moments où les gens « normaux » ont déjà enlacé Morphée depuis bien longtemps.

Je me souviens avoir un jour repris dans cette chronique cette citation exceptionnelle de Michel Audiard « c'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule », mais l'inconvénient aujourd'hui réside dans le fait que je suis contraint de fermer ma gueule alors que je voudrais m'exprimer.
Ce fut le cas notamment suite à l'annonce du transfert de Refaelov ou après la rencontre du dimanche 2 mai au FC Brugge. J'ai remis mon humeur au lendemain et je n'ai pas pu bénéficier d'un seul moment le lundi pour m'y atteler. Idem le mardi et le mercredi, la sauce était déjà froide.
Il me fallait donc trouver une idée géniale (!) afin de pouvoir réagir à l'actualité sans me lancer dans toute une chronique.
Et la lumière fut !
Parallèlement à mes « humeurs » que je ne compte pas arrêter, mais qui se feront plus rares, vous me retrouverez dans des « flashs » qui vous seront distillés en réaction à des faits ou informations relatifs à la vie de notre club adoré.

Je ne voudrais quand même pas conclure sans évoquer la magnifique prestation de nos couleurs ce samedi soir. Tout comme à Bruges, seule manquait la victoire.
Le Sporting ne sera pas champion cette année, mais il joue en champion et il fait à nouveau rêver ses supporters.
Au moment où je rédigeais ces lignes, un de mes amis m'a appelé pour me dire qu'il venait de voir le résultat de la rencontre entre le FC Brugge et l'Antwerp.
« Tu te rends compte qu'on aurait pu être champion si on avait battu Bruges et l'Antwerp » furent ses propos. Bien sûr, avec des « si », on met Paris en bouteille, c'est bien connu.
N'empêche que cela aurait été phénoménal !