Van Holsbeeck: "Je veux lui parler"

DIMANCHE, 23 JANVIER 2005, 18:41 - Michaël
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Le président Roger Vanden Stock ne voulait pas trop parler de ce cas: "Sauf que ce sera très difficile de retrouver la confiance. Et dire que Peersman était encore Diable Rouge il y a quelques mois."

Parmi ses coéquipiers, on ne trouvait aucun détracteur. "Il faut qu'on l'aide, tous ensemble, disait Pär Zetterberg. "Tout le monde a essayé de le faire changer d'idée. Moi, j'ai eu la même crise de confiance en Grèce. C'est drôle: la tête veut, mais les pieds ou chez lui les mains ne suivent pas."

Entre-temps, Anderlecht ferait bien de réfléchir s'il n'achèterait pas un nouveau gardien. "Il n'en est pas question, nous n'allons pas chercher un Pavlovic en dernière minute comme le Sporting l'a fait dans le passé", affirmait Herman Van Holsbeeck.
Hier, le Sporting tentait de calmer les esprits. Ainsi, Peersman avait reçu un jour de congé de Broos: "Tristan ne devait pas venir à l'entraînement, il pouvait rester chez lui pour se remettre de ce qui s'est passé.» Van Holsbeeck ajoutait: «Demain il doit venir au club, je veux lui parler. C'est un pro, sa vie ne s'arrête pas après une bourde."



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