“Je savais que Köteles prend toujours un coin”, précisait Cheik, pour qui ce penalty était également une première. “Proto et Biglia m’avaient mis en confiance.
J’ai même rigolé avant de frapper. Il ne faut pas avoir peur de tirer un péno. Surtout quand on est un leader. J’en ai vu qui craquaient. Il faut être un homme, il faut être fort dans la tête. Si je veux les tirer à l’avenir ? Le coach veut faire tirer celui qui se sent bien. Mais puisqu’il n’a pas confiance en moi…
“Mes larmes sont sorties toutes seules, dit-il. Les Genkois Kara, Monrose et Koulibaly venaient de me consoler. Je la voulais tellement, cette finale. Mais je crois en Dieu : c’est la preuve qu’on ne pouvait pas se qualifier.”
(source Dhnet)
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