“Anderlecht, ce n’est pas mauvais, mais ce n’est pas très bon non plus. Je sais qu’ils viennent de battre le Zenit, mais globalement, j’estime que ce n’est pas assez.
Surtout quand on tient compte des sommes que le club a investies.”
L’ancien défenseur est surpris par l’arrière-garde du Sporting.
“Juhasz et Wasilewski étaient quand même des valeurs sûres ? Je ne connais pas assez Nuytinck pour le juger, mais ce n’est pas en achetant un défenseur hollandais qu’on va gagner la finale de la Ligue des Champions. Et puis, ce qui me frappe encore, c’est que Jovanovic a toujours autant de flair.”
“En 2001, c’était l’époque où Anderlecht montait sur le terrain en sachant qu’on allait gagner. Je ne veux pas jouer à l’ancien combattant, mais je n’ai plus jamais revu une équipe d’Anderlecht avec une telle maturité. Notre parcours en Coupe d’Europe n’était pas un hasard.” Crasson a toujours été considéré comme un anti-Brugeois et un anti-Standardman. “C’est faux”, rétorque-t-il. “On m’a collé cette étiquette parce qu’on m’identifiait à Anderlecht, le grand ennemi. J’ai passé la moitié de ma vie à Anderlecht. J’aimais jouer des matches contre Bruges. C’étaient de véritables batailles physiques.”
(source Dhnet)
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