INTERVIEWS Karim Belhocine déclare qu’Anderlecht a de très bons jeunes, tant au niveau football que de la mentalité. Leur intégration au groupe se passe de la meilleure façon et les anciens font leur travail d’encadrement auprès d'eux, ce qui est nécessaires à leur évolution.
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Anderlecht a fait le choix de la jeunesse et il savait qu’il y aurait des hauts et des bas, c’est naturel. Il cite notamment Yari Verschaeren, Alexis Saelemaekers, Jeremy Doku, Sebastiaan Bornauw qui sont de véritables révélations et l’avenir du club en ce moment.
Il avoue que l’intérim qu’il a dû assurer après le licenciement de Hein Vanhaezebrouck ne fut pas une chose aisée pour lui. Il était devenu le confident des joueurs en tant que T2. Il a par la suite appris à connaître Fred Rutten et le courant passe plutôt bien entre les deux hommes.
Il voit de grosses différences entre les deux coaches qu’il a connus à Anderlecht. L’un était axé sur la technique et l’autre est plus proche du groupe. Il ajoute qu’avant de prendre la place en intérim, il a téléphoné à Hein Vanhaezebrouck car il souhaitait lui expliquer la situation. L’ancien coach des mauves lui a conseillé de prendre le poste.
Il ajoute qu’Anderlecht mérite les playoffs 1. Les progrès enregistrés lors des dernières semaines lui font dire que'en cas de qualification pour les playoffs 1, Anderlecht pourrait créer la surprise. Il n’a pas encore fait une croix sur le titre de champion, il faudra surtout ne se mettre aucune limite en cas de playoffs 1.
Il souligne l’apport de Yannick Bolasie sur le groupe, le leadership naturel de Kara et la confiance retrouvée de Sven Kums.
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