Jacobs : La vérité du jour est la seule qui compte.

MERCREDI, 9 MAI 2012, 06:59 - purpleketje
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“Je suis en fin de contrat et j’ai donc peu à exiger. Quelle que soit la décision qui va tomber, elle doit satisfaire les deux parties. Je ne pense qu’en fonction du club.


D’un côté, 4 ans et demi, cela commence à être long. Mais d’un autre côté, on veut de la continuité. Mais dans le football, c’est à court terme que des décisions sont prises. La vérité du jour est la seule qui compte.”
Une des vérités du jour, c’est que le public n’aime pas Jacobs. Une partie l’a sifflé lorsqu’il est monté sur le podium. “Je préfère que le public tire sur moi que sur les joueurs. Ce sont eux qui doivent prester sur le terrain. En début de saison, je comprenais que le public n’était pas pro-Jacobs. On avait terminé 3e, après des playoffs loupés.”
“Je ne m’attendais pas à autant de soutien de la part du groupe. Parce qu’il faut savoir qu’on ne peut que titulariser onze joueurs. Ceux qui jouent peu veulent évidemment que le coach s’en aille. Ce vote démontre ce que je pensais : que le climat de travail était encore bon.”
Une des critiques envers Jacobs est qu’il est trop brave envers les joueurs et envers la direction. “Cela me fait rire. Est-ce que je serais moins brave si je me levais plus ? Et quand je me lève plus, on dit que je suis nerveux ? Quand on s’en prend à un joueur en public, il se sent ridiculisé. Quand il le faut, je prends un joueur en main. En ce qui concerne mon attitude envers la direction, je ne comprends pas les clubs qui laissent leur entraîneur participer à la politique de transferts. Rien n’est si variable qu’un poste d’entraîneur.”

(source Dhnet)



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