"J'aime trop Anderlecht, je respecte leur attitude"

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Aussi bien à la fin du mois d'août que dans ce mercato hivernal, Leander Dendoncker avait des envies de transfert. Aujourd'hui dans Het Laatste Nieuws, il se remémore ces périodes. "Le 1er septembre, la déception était grande et j'ai eu difficile de m'en remettre. En janvier je l'ai géré différemment." 

"A la fin de la saison dernière, déjà dans les PO1, j'avais décidé de viser plus haut", explique Dendoncker. "Je voulais franchir une nouvelle étape dans ma carrière et je me suis senti prêt pour un nouveau défi." Anderlecht était contre un départ. Après le transfert de Youri Tielemans, le Sporting ne voulait pas perdre son autre joyau.

«Mais chaque jour, j'étais accroché au téléphone avec mon agent, le 31 août s'est rapproché et il m'a dit que je devrais être patient, que tout s'arrangerait .» J'avais constamment ce transfert en tête. Au lieu de me concentrer sur les séances d'entraînement, je me rends compte que j'étais mal occupé.  Je ne savais pas comment gérer la situation."

En janvier, tout le cirque recommençait, mais Dendoncker avait appris de ses leçons. "Maintenant, je n'ai pas appelé mon agent tout le temps, surtout quand Hanni s'est envolé pour Moscou, j'avais accepté qu'Anderlecht ne me laisse pas partir, mais West Ham me semblait un club sympa pour grandir. L'argent ne compte pas, le sportif prime"

Quiconque pense que quelque chose est cassé entre Anderlecht et Dendoncker a tort. "Je ne suis pas en colère contre le Sporting, j'aime trop Anderlecht, je respecte leur attitude", dit-il. Dendoncker veut maintenant tourner le bouton et rapidement et revenir à son meilleur niveau. "Tout se retournera contre moi si je joue mal. Je vais remettre les pendule à l'heure,  vis-à vis de moi , de l'équipe et des supporters"