Jacobs : “Jouer à domicile n’est pas une garantie”

Lors de sa conférence de presse hebdomadaire, Ariël Jacobs n’a que très peu évoqué son adversaire du week-end.



“Genk et Anderlecht n’ont pas rajouté beaucoup de joueurs durant en janvier. Cela ne devrait donc pas fausser la donne entre les deux équipes. Le principe du mercato d’hiver est toujours difficile à gérer. On ne sait jamais si des joueurs vont nous quitter ou pas” , notait le Diegemois, en faisant allusion au cas De Bruyne.

Pour moi, si l’avance est réduite à dix points à l’issue de la rencontre, ou bien si elle est portée à seize unités, cela ne fait pas une grande différence. Si on peut creuser l’écart, tant mieux, mais de toute manière, la pression sera toujours présente à chaque match” , ajoutait le technicien bruxellois, qui ne semble pas déborder de sérénité, en dépit de la puissance de son équipe à domicile face aux ténors : “Nous jouerons ce dimanche devant notre public, mais ce n’est pas une garantie : le football reste toujours imprévisible.”

Face aux équipes de milieu de classement, c’est surtout à l’extérieur que le bât blesse pour le Sporting.

“Club, joueurs et staff technique : cela fait un moment qu’on se demande pourquoi cela ne fonctionne pas, mais on n’a pas encore mis la main sur le problème” , avoue Ariël Jacobs. “Ce qui est certain, ce que ce n’est pas un souci d’arrogance. Samedi dernier, lorsque les joueurs sont montés sur le terrain au Beerschot, ils ne se sont jamais dit que cela allait être une partie de plaisir.”