Les "humeurs du Bomber"

SAMEDI, 9 JUILLET 2016, 01:15 - Bomber
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OPINIONS Pour la toute première fois, comme chantait Jeanne Mas, je vous livre une humeur qui ne concerne pas le RSCA!

Une fois n'est pas coutume, cette "humeur" sera très courte.

Comme vous (pour la plupart, en tout cas), je ne digère pas l'élimination de la Belgique face au Pays de Galles. Certes, il y a des choses plus graves dans la vie, mais nos Diables ont raté une occasion peut-être unique de gagner une compétition majeure.

Je n'alimenterai pas longuement les discussions qui foisonnent depuis cette sinistre soirée où nos Diables ont sombré dans une ville de Lille qui leur était acquise. Nous avons tous nos idées et nos sentiments sur les choix et la tactique de Wilmots. Je signalerai simplement que vu les circonstances et étant donné son expérience, Ciman aurait vraisemblablement pu stabiliser une défense au sein de laquelle Denayer et Jordan Lukaku couraient comme des moutons affolés. Il est clair que devoir se passer à la fois de Kompany, de Lombaerts, de Vermaelen et de Vertonghen, peu d'équipes auraient pu le faire sans en subir les conséquences.
J'ajouterai que, personnellement, j'ai trouvé que Romelu avait produit d'excellentes prestations mis à part contre l'Italie et j'estime qu'il a été injustement stigmatisé par une partie de la presse et des supporters.

Ce qui m'a, en fait, incité à écrire ce billet, ce sont les comportements et les propos de Stéphane Pauwels. Que ce type, qui ne connait rien au foot, ait l'habitude d'être grossier et suffisant passe encore, mais il dépasse régulièrement les bornes lorsqu’il critique un joueur, un entraineur ou un dirigeant. Là, à l'instar de certaines charognes des stades, il joue l'homme et pas la balle. Les propos qu'il a tenu vis-à-vis des frères Lukaku (en se réjouissant notamment qu'ils ne soient heureusement pas trois) étaient blessants et gratuitement méchants.
Des journalistes comme Rodrigo Beenkens ou des consultants comme Khalilou Fadiga peuvent se montrer extrêmement critiques, mais ils le font avec dignité sans se montrer odieux.

Sachez, Monsieur Pauwels, que vous n'existez que par vos provocations dont raffolent certains média, mais vous me dégouttez profondément et je vous méprise.





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