Ariël Jacobs: «On a beaucoup trop parlé transferts»

"Entre novembre et mars, on a parlé davantage de transferts que de football au sein du club. À un moment, le groupe ne parlait plus que de ça.


«Je suis bien à Anderlecht mais j'aspire à recevoir une belle offre». Tel était le discours d'au moins cinq joueurs du noyau pendant des mois. Cela finit par se payer cash. Dans ces cas-là, ceux qui sont sur le point de partir ont la tête ailleurs, ceux qui ont dû rester sont déçus et le reste du vestiaire est moins concentré. Fin janvier, sentant le malaise, j'avais réuni tous les joueurs pour leur dire que, dorénavant, le bouton devait être tourné jusqu'en juin. Avec le départ de Boussoufa, auquel je ne m'attendais pas du tout, le cirque a malheureusement recommencé. La volonté a toujours été présente dans l'équipe mais, inconsciemment, beaucoup jouaient avec le frein à main."

(source Lavenir.net)