Büttner : "Anderlecht est un club magnifique"

DIMANCHE, 21 FÉVRIER 2016, 11:36 - purpleketje
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INTERVIEWS Un but sur coup-franc contre Zulte Waregem, et voilà Alexander Büttner qui fonce vers sa famille dans le coin du stade Constant Vanden Stock. "Ce but contre Zulte Waregem m’a tellement fait plaisir… Je l’avais prédit avant le match que j’allais marquer", relate le défenseur batave. 

Arrivé de Moscou durant le mercato hivernal, le joueur savoure à fond ses premières semaines à Anderlecht, où il aimerait poursuivre l'aventure au-delà du prêt. 

"Anderlecht est un club magnifique. Je l’ai préféré à Newcastle et Galatasaray, qui a fait le forcing, le dernier jour du mercato. J’aimerais bien rester ici. J’ai lu que je coûterai 4 millions. Je crois que ce sera moins. On a de bons accords avec Moscou. Ce sera à mon agent de trouver une solution.”

Formé à l’Ajax, de 11 à 16 ans, il a débarqué un jour à Vitesse, où van den Brom a fait de lui un arrière gauche, alors qu’il avait toujours joué comme ailier ou médian central.

"Besnik Hasi a raison de dire que je dois mieux doser mes efforts, vu que je ne suis pas encore à 100%. Mais c’est tellement difficile, quand je vois l’espace devant moi. Un Büttner en forme est capable de faire des allers et retours pendant 90 minutes"

Après Vitesse, Alexander Büttner débarque à Manchester United,où il se retrouve parmi des stars, comme Rooney, Scholes, Van Persie, et Welbeck.

"Tu es un parmi nous, disait Ferguson. J’étais très proche de Januzaj, je suis encore en contact avec lui. Celui qui s’occupait le plus de moi, était Evra. Même si j’étais son concurrent, il me guidait partout. Il allait avec moi à la salle de muscu, il restait sur le terrain d’entraînement pour me donner des consignes tactiques. Il voyait en moi son successeur"

Son meilleur souvenir était un match en Ligue des Champions contre le Bayern. Malgré l'élimination, Alexander avait sorti Robben du match.

"Quel arrière gauche peut dire cela ? Il m’avait félicité et on s’était échangé les maillots après. À la fin de la saison, quand j’ai appris que Van Gaal deviendrait entraîneur, je me suis dit que je devais partir. Même quand je jouais six ou sept matches de suite avec Manchester, il n’avait pas pris de mes nouvelles quand il était coach de l’équipe nationale. Il est un bon entraîneur, mais vu qu’il m’avait nié, je sentais qu’il n’avait donc pas confiance en moi."



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