Daniel Renders : “Herman Van Holsbeeck ? Un ami pour la vie”

DIMANCHE, 31 OCTOBRE 2010, 10:20 - GUYGUY7
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Même s’il fut viré de son poste de T1 au RWDM par l’actuel manager mauve , Renders et Van Holsebeeck restent des complices.

Racing Jet Bruxelles, Union, Diegem, Mons, Wetteren, RWDM : Daniel Renders a parcouru un bon petit bout de chemin comme T1 avant de rejoindre Anderlecht où il a trouvé chaussure à son pied dans un rôle d’adjoint.

“À mes débuts chez les jeunes à l’âge de 23 ans, je m’étais juste fixé pour objectif d’un jour diriger un club de nationale. Mes espérances les plus folles ont été dépassées. Au pied de l’Atomium, j’ai découvert l’élite chapeauté par un certain Raymond Goethals. J’y ai dirigé des stars internationales comme Bölöni, Janevska ou Barmosz. L’ex-T1 du Standard m’appelle encore deux, trois fois par an et le Tchèque n’oublie jamais de m’envoyer une carte à Nouvel An !”

Après des passages dans les séries inférieures, notamment à l’Union (“une équipe fantastique qui vaudrait aujourd’hui la deuxième moitié de tableau en D1 !” ), il débarqua au RWDM.

“Un autre rêve se réalisait pour moi le Molenbeekois dans le club où mon père avait œuvré. Les conditions étaient délicates; la faillite survint plus tard. Pendant quatre mois, on tira notre épingle du jeu mais notre jeune équipe finit par craquer et Herman Van Hoslbeeck qui était le manager dut m’annoncer mon licenciement. Pourtant, nous sommes restés des amis pour la vie. Notre seul mot d’ordre ? Jamais le foot n’entravera notre relation !”

Et de fait puisqu’il fut embrigadé en 2000 au Sporting.

“Ma principale qualité est de pouvoir m’adapter aisément à chaque situation. J’ai commencé par le scouting de l’adversaire, ce qui m’a permis de voir de très grands matches partout en Europe en plus de la Belgique; j’étais déjà tellement fier de pouvoir travailler pour le staff de l’équipe A. Sous Anthuenis et Broos, j’étais le bras droit de Vercauteren qui était T2. Je m’occupais des entraînements individuels, notamment de Deschacht, Lovré et autre Mac Donald. Je n’ai cessé d’avancer dans la hiérarchie jusqu’au moment où Frankie m’a convié à l’assister en première. Même si la responsabilité finale revient toujours au T1, tenir dix ans à Anderlecht prouve que j’ai gagné le respect. Je ne cache point ma satisfaction à ce niveau. Pourtant, je suis content d’avoir 55 ans parce que les choses ont bien changé…”



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